L'Allemagne,
avec la France, représentait le gros de la scène CPC. Il y a
longtemps eu une guerilla entre les groupes des deux pays. Les Allemands,
ultra-techniciens, étaient distancés par les productions françaises...un
véritable outrage... 
|
|
Les magazine allemand "CPC AI" faisait plus de 100 pages, et fleurait bon la rigueur teutonne. Il était bimensuel mais les lecteurs avaient vraiment de quoi lire... Ce magazine manquait cependant de fun et était très austère, abordant souvent des sujets rébarbatifs de manière très scolaire. Une place était faite aussi à d'autres machines moins ludiques de la gamme Amstrad... Le dernier numéro sorti fut celui de Décembre 1992/Janvier 1993 |
La pérestroïka engendrée par les euro-meetings a dégelé l'atmosphère et c'est en Février 1992 que des articles sur le 1er meeting et The Demo furent écrit.
Ne parlant pas Allemand, je n'ai jamais réussi à traduire cet article, mais je suppose qu'il ne disait pas trop de mal...
|
|
Le magazine CPC AI parlait très souvent d'électronique et on peut comprendre sans peine pourquoi nous français fument complètement largués lorsque nous avons vu la tronche bricolée des machines allemandes. En effet, il était impensable de voir un cpc allemand non trafiqué. Cela facilitait la vie en terme de développement. La scène française a suivi, mais il y avait un retard énorme. |
